Plus de 6 milliards d’émojis sont partagés chaque jours !
Occupant une place prépondérante dans la Culture Geek, les émojis font désormais partie intégrante de la communication de masse. Employés par les grandes marques et jusque dans la sphère politique ces icônes expressives déclinables à l’infini représentent désormais une part incontournable sur smartphones et tablettes. Les émojis permettent d’ajouter des émotions aux moyens de communication uniquement basés sur le texte (SMS/MMS) et la voix. Dans une conversation en face à face, nous interprétons plus ou moins consciemment le degré émotionnel de notre interlocuteur grâce à ses expressions. Les émojis viennent compléter la façon dont nous souhaitons être perçu lors de nos conversation « à distance ».
L’Aventure Intérieure
Il y a des avant-premières où l’on va plutôt à reculons. Après avoir vu la bande annonce je craignais déjà que ce film ne soit qu’une suite de placement de produits pour inciter les gamins à télécharger encore plus de jeux débiles et d’applications chronophages.
Et c’est bien ce dont il est question dans Le Monde Secret des Emojis !
Dans ta face !
Quand tu as apprécié Vice-Versa et que tu sors de Lou et les Sirènes (que je vous recommande), comment dire ?, les Emojis, à côté, font pâle….figures ! Je peux aussi profiter de ce billet pour placer de bons films à voir, comme cela vous n’aurez pas perdu votre temps.
Pour résumé, un ado, amoureux transi, ne sait pas comment déclarer sa flemme…oups…sa flamme à sa camarade de classe. Heureusement, les émojis sont là à condition que leur application ne soit pas supprimée… 🙁 .
Bof ! … Non ce n’est pas mon avis sur le film c’est le nom du héros de ce dessin animé dont l’intrigue « à la Tron » se déroule aussi bien dans le monde réel que dans l’univers numérique d’un téléphone…qui pourrait-être le votre.
Sur un scénario d’une mièvrerie affligeante, on sort de sa léthargie entre deux placements d’Applis à la mode grâce à la bande originale du métrage qui envoie des titres accrocheurs au cours d’une partie de Just Dance très réussie mais qui ne suffit pas à sauver le film.
On nous balance du vocabulaire geek à la mode comme « cloud » (informatique dans les nuages) ou « hacker » pour mieux masquer l’indigence de l’écriture. Heureusement, le calvaire ne dure qu’une heure et vingt-six minutes et nous voilà dehors !
Ma note sur ce film :